Depuis la dissolution de l’Assemblée nationale en France, les spéculations sur l’avenir de la démocratie dans ce pays n’ont plus cessé, sur des points peu importants comme la santé mentale du président ou le rôle de ses conseillers occultes dans cette décision, et d’autres cruciaux comme imaginer si gouverner ce pays est encore possible ou pas. Bernard Arnault lui-même, l’homme le plus riche du monde, a fustigé la décision de Macron, rendant ainsi tout à fait crédible la thèse d’une marionnette qui échappe à ses maîtres.
Désormais, le plus important nous semble que la séquence ouverte par la dissolution de l’Assemblée – séquence qui est loin d’être terminée – aiguise cette simple réalité : l’incertitude du lendemain est, en France, de plus en plus forte. Et ce n’est pas la parenthèse des Jeux olympiques qui l’aura fait diminuer.
C’est une banalité d’affirmer que la peur est une stratégie de pouvoir. À la peur de l’apoca …
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