On commençait à peine à s’habituer à son style, à s’adapter à ses phrases douteuses, à s’accoutumer à ses combats spéciaux : et vlan, peu après la parution de cette
chronique dont le Tout-Paris s’est pourléché les babines, la valse d’Amélie lui a fait perdre l’Éducation nationale au profit d’une personnalité expérimentée en politique et moins férue de boulettes médiatiques. On ne m’empêchera pas de penser que cette valse à mille temps fait penser que le ministère de l’Éducation nationale ressemble plus à du speed-dating qu’à un centre où l’on phosphore sur la formation des jeunes et des moins jeunes. La mise en scène des différents remaniements aura davantage ressemblé à un vaudeville d’un sous Feydeau, mâtiné d’une tragédie grecque, qu’à une belle pièce harmonieuse et réussie.
Restons un instant avec la belle bourgeoise du 16ème arrondissement, qui prépare si ardemment les Jeux Olympiques de Paris qu …
Vous devez être abonné pour visualiser cette page.
Si vous êtes déjà abonné, veuillez-vous connecter.
Dans le cas contraire, abonnez-vous dès à présent.
Si vous êtes déjà abonné, veuillez-vous connecter.
Dans le cas contraire, abonnez-vous dès à présent.