Petit message à l’intention de ceux qui nous suivent et apprécient notre travail
L’objectif du pouvoir (médiatique, politique, des Gafam…) étant d’effacer tout ce qui ne cadre pas avec le récit officiel, l’un des moyens est de nous invisibiliser, de faire comme si nous n’existions pas. Ainsi, alors que plus de 118.000 personnes sont abonnées à notre page Facebook, il n’est plus possible, depuis presque deux ans, pour de nouvelles personnes de s’abonner à celle-ci. Par ailleurs, aucun des abonnés actuels, ou très peu, ne reçoit de notifications lors d’une nouvelle publication de Kairos. Vous savez aussi que YouTube a fermé notre chaîne qui comptait 42.000 abonnés, dont les vidéos dépassaient parfois les 800.000 vues (la suite du procès aura lieu en décembre 2023).
Il s’ensuit que l’énorme travail que nous faisons pour informer n’atteint pas suffisamment de gens, en raison de la capacité du pouvoir (pas — encore- de nous faire taire) d’empêcher que vous nous entendiez.
Ainsi, pour aller contre cette forme de censure:
- allez consulter régulièrement le site de Kairos www.kairospresse.be et les autres réseaux de Kairos
- parlez de Kairos autour de vous, déposez des journaux dans divers lieux
- proposez à vos proches de s’abonner à notre newsletter, assurance d’être tenu au courant de nos publications:
- profitez de l’été pour porter le t‑shirt de Kairos, occasion de nous rendre visible
- envoyez nos publications à vos proches, postez-les sur des groupes
- abonnez-vous, réabonnez-vous, abonnez vos proches
Rendez visible ce qu’ils ne veulent pas que l’on voie. Ils craignent plus que tout l’ »outrecuidance », comme celle du 15 avril 2020 lorsque Alexandre Penasse a « osé » poser à Sophie Wilmès en conférence de presse la question « biaisée politiquement », en plein cirque Covid-19. C’est ce qu’ils veulent à tout prix éviter, ils savent bien que l’information libre vue par un grand nombre les ferait basculer. Ils savent qu’ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.
